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Crédit : Tomas Bozzato

LA COZNA

quartet folk expé

Entre musique traditionnelle, musique répétitive et musique improvisée, La Cozna s'empare de chansons traditionnelles françaises pour raconter des histoires de femmes et d'hommes en écho à nos histoires contemporaines.

L'improvisation jaillit au travers de ces chansons, les timbres se mêlent les uns aux autres, s'enlacent, se confondent, pour créer une matière sonore riche et énigmatique.

Nos imaginaires se libèrent, mêlant passé et présent immédiat, pour découvrir toute la liberté qui transpire de ces chansons, et en percer les secrets et les sous-entendus subversifs.

- NOUVEL ALBUM -

À quoi tient le succès d’une bonne recette ? Pour Ni Nuit Ni Jour, son premier album, celle de La Cozna (la cuisine en savoyard) repose sur des fondations expérimentales, des timbres complexes, des saillances improvisées, une radicalité texturale et formelle que le quartet compose en commun depuis sa formation en 2021 à l’initiative de Clémentine Ristord (clarinette basse, boîte à bourdon). À ses côtés, Pierre-Antoine Despatures (contrebasse, percussions), Clémence Baillot d'Estivaux (chant, violoncelle) et Benjamin Garson (guitares) repoussent les limites de leurs instruments et malaxent à la main les propriétés plastiques de la matière sonore.

La Cozna se saisit au présent d’une série de chansons traditionnelles françaises issues de collectages réalisés au XXe siècle. Transmis à voix basse dans le secret des fourneaux, ces chants de femmes sont des histoires d’amour, violence ou liberté qui se jouent des dominations avec humour, drame et poésie. Dans Ni Nuit Ni Jour, l'ambiguïté des textes flirte avec un son fiévreux, tendu de désir et d’obscurité.

Jeanne Lacaille

La Cozna a bénéficié du soutien de La Générale (Paris XIV), Chantiers des détours de Babel, de l'ADAMI et la région Ile-de-France.

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